mardi 25 février 2014

Comment avoir une carrière enrichissante



Me retrouvant à la fois dans mon mentor, Richard Branson, et mettant toute ma conviction dans ma mission d’accompagnement à la transition professionnelle, je vous recommande cet article dynamisant et inspirant traduit par Sylvie Ségui, de JD.







Chronique de Richard Branson, Fondateur Virgin Group

Une des choses qui me ravissent lorsque je me réveille chaque matin, c’est d'avoir un travail que j'aime. Non seulement ça, mais c’est incroyablement gratifiant d'être entouré de gens qui aiment aussi ce qu'ils font. Virgin est une société qui se targue d’être composée d’effectifs heureux et motivés.
Malheureusement, il y a beaucoup de gens qui n'ont pas la chance d'avoir un emploi qui les passionne. Cela m’est apparu trop évident lorsque j'ai récemment regardé un court métrage réalisé par la société de production de mon fils Sam, Sundog Pictures. Il y avait quelques passages qui m’ont frappé, en particulier quelqu’un qui expliquait de quelle façon il avait vécu son changement de carrière :

"Dans mon ancien travail, c’était tous les jours difficile, mais maintenant j’ai le sentiment de glisser à travers la vie".
Nous aimerions tous avoir une carrière enrichissante, mais à quels moyens doit-on avoir recours pour y arriver ? Pour la plupart des gens, l’un des principaux freins, c’est la peur, ce qui est tout à fait compréhensible. Il se peut que vous ayez eu un poste bien payé et très respecté. Même si le travail que vous faites ne vous rend pas heureux, laisser cet aspect de côté peut être une tâche redoutable.
  
Quand la plupart des gens pensent à prendre un risque, ils l’associent à des connotations négatives alors qu'en réalité ils devraient le voir comme une occasion positive. Croyez en vous et donnez-vous les moyens de vous retrouver au-dessus du lot. Que cela signifie étudier afin de changer de direction, accepter un poste inférieur sur l’échelon professionnel dans le domaine que vous visez ou démarrer votre propre entreprise, vous ne saurez jamais si vous n’essayez pas.
Il peut être facile de trouver des raisons de ne rien faire. Cependant, vous pourriez être surpris de découvrir ce qui est à portée de main si vous vous engagez dans un projet. Il ne s’agit pas de vous débattre tout seul. Quand nous avons démarré Virgin Atlantic, c’était une époque plutôt incertaine mais heureusement j’ai trouvé un mentor en la personne de Sir Freddie Laker, fondateur de Laker Airways, qui était en mesure de m’offrir des conseils d'experts et beaucoup de réconfort.

Si on regarde à l'intérieur du groupe Virgin, il y a d'innombrables exemples de la façon dont les membres du personnel ont progressé au sein de l'organisation en trouvant la mission de leur rêve. Cette année, j'ai eu la chance de rencontrer Danielle Stokes qui travaille pour Virgin Australia et qui a une histoire remarquable en terme de progression de carrière.
Aujourd’hui, Danielle est une jeune pilote qui faisait partie du personnel navigant de la compagnie aérienne. Avant ça, elle travaillait dans un café pour économiser de l'argent et se payer une formation de pilote. La morale de cette histoire ? Ne renoncez jamais à vos rêves !
Une carrière enrichissante attend ceux qui ont assez de courage pour aller à sa rencontre.

Le contrat de sécurisation professionnelle





Le contrat de sécurisation professionnelle (CSP) remplace la convention de reclassement personnalisée (CRP) dans la procédure de licenciement économique. Il vise à accompagner le salarié vers le retour à l'emploi.


Synthèse
Le contrat de sécurisation professionnelle (CSP), créé par la loi n° 2011-893 du 28 juillet 2011 citée en référence, s’adresse aux salariés dont le licenciement économique est envisagé dans une entreprise non soumise à l’obligation de proposer un congé de reclassement.

Ce contrat, d’une durée maximale de 12 mois, a pour objet l’organisation et le déroulement d’un parcours de retour à l’emploi, le cas échéant au moyen d’une reconversion ou d’une création ou reprise d’entreprise. Pendant la durée de ce contrat, et en dehors des périodes durant lesquelles il exerce une activité rémunérée, le titulaire du CSP perçoit une « allocation spécifique de sécurisation professionnelle » (ASP) égale à 80 % du salaire journalier de référence (soit à peu près l’équivalent du salaire net) pour les salariés justifiant d’un an d’ancienneté dans l’entreprise.

Pour tout savoir sur le CSP ou pour rappel, reportez vous ici :